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À travers les réseaux sociaux et les informations, je remarque qu'une catégorie de la population française, ou vivant en France, a un gros problème avec la France et ses habitants blancs. Cette catégorie est celle de certaines personnes noires. Un détail : toutes les personnes noires n'ont pas le même problème avec la France et ses habitants blancs. Ce sont souvent les noirs musulmans qui sont les plus remontés. Hasard ?

 

Texte anti woke sur le racisme anti-blanc
Le racisme c'est juger une personne à sa couleur de peau et les discriminer.

 

 

Être gentil n'oblige pas à être idiot, ni aveugle

 

 

 

 

 

À travers les réseaux sociaux et les informations, je remarque qu'une catégorie de la population française, ou vivant en France, a un gros problème avec la France et ses habitants blancs. Cette catégorie est celle de certaines personnes noires.

 

Un détail : toutes les personnes noires n'ont pas le même problème avec la France et ses habitants blancs. Les antillais, réunionnais et certains Africains, de nationalité ou d'origine n'ont pas, autant que d'autres, le même problème avec la France et ses habitants blancs. Ces antillais, ces Réunionnais et Africains noirs qui n'ont pas la même virulence, sont chrétiens, de pratique ou d'éducation, même s'ils ne vont pas à la messe et qu'il se peut que certains d'entre eux soient athées.

 

 

L'islam

 

 

Je constate que les Africains, en France, de nationalité ou simples résidents, qui demandent réparation, qui critiquent la France et le colonialisme, qui disent que la France est raciste, que les Français blancs chrétiens sont racistes, ces personnes les plus virulentes sont souvent des musulmans, stars du sport, du cinéma, de la télévision et de la musique, qui ont réussi en France et sont parmi les privilégiés.

 

Je crois que le problème de ces noirs musulmans est plus d'ordre religieux que moral, mémorial ou autre. Pourquoi la majeure partie des noirs français ou résidents en France, qui propagent les plus virulentes critiques sont musulmans ? Étrange, non ? Si j'étais complotiste, je dirais que c'est là le fruit du frérisme.

 

Le frérisme est un mouvement religieux islamiste issu des frères musulmans et qui vise à faire de la propagande dans les pays chrétiens par le biais culturel et sociétal. Leur but est prosélyte, ils veulent que le monde entier soit musulman, comme le Coran le demande et ils s'attaquent à nos pays occidentaux fragilisés par le wokisme, la bien-pensance et la repentance.

 

Les fréristes ne sont pas obligatoirement membres des « frères musulmans », mais reçoivent la propagande victimaire des prosélytes islamistes et la relaient, souvent sans le savoir et de bonne foi.

 

La mouvance islamiste se compose du Jihad, comme Daesh et Al Quaïda, qui s'expriment avec les armes, de l'islamisme, qui se place sur le plan politique et négocie avec les États, pour participer aux élections et gouverner, des frères musulmans, qui se placent sur le plan sociétal et du frérisme, qui est un corollaire des frères musulmans, plus ou moins affilié et qui relaie ses thèses dans la société.

 

 

Discrimination

 

 

Ce n'est pas un problème de racisme. Le racisme est un prétexte pour distiller le poison de l'anti-France et de l'anti-blanc chrétien dans l'esprit des « citoyens » Français, ou anglais ou Belges, etc, de confession musulmane afin de créer un « schisme » entre eux et le reste de la société.

 

Comme beaucoup de musiciens, de comédiens et de sportifs sont musulmans, et des relais d'opinion, ce lobbying fonctionne à merveille. Si on le fait remarquer, on est traité de complotiste et de raciste d'extrême droite. Mais depuis quand être contre l'islamisme est-il raciste ?

 

Quand j'étais enfant, en pension, on me poursuivait en me jetant des cailloux et en criant : « portos ! Portos ! », parce que j'avais un nom portugais. C'était dans les années 60. J'ai dû « prendre », un par un, chacun de mes poursuivants et distribuer quelques « coups de boule » pour les calmer et avoir la paix. J'avais entre 8 et 11 ans. Je suis resté dans cette pension jusqu'à 18 ans. En revanche, le reste du temps a été plutôt calme, ma réputation de « frappadingue » étant bien établie.

 

J'étais français, pourtant, né à Paris d'une mère née à Paris et d'un père né à Paris, dont le père (mon grand-père) avait été réfugié politique brésilien, naturalisé français. Les parents de ma mère étaient de Versailles, d'origine savoyarde et, donc, un peu italienne. Mes deux parents avaient été officiers dans l'armée française, mon père capitaine béret rouge, ma mère lieutenant dans les transmissions, ancienne PFAT*.

 

* Le corps des auxiliaires féminines de l'Armée de terre (AFAT), parfois appelé arme féminine de l'Armée de terre, est une unité de l'armée de terre française créée en 1944, pour regrouper les femmes du Corps des Volontaires françaises créé à Londres le 7 novembre 1940, des Forces françaises libres et des Forces françaises de l'intérieur. Ce corps a été remplacé le 1er février 1946 par le Personnel féminin de l'Armée de terre (PFAT).

 

Mon père a fait l'Indochine, Suez et l'Algérie. J'ai été conçu au Maroc, à Casablanca et je suis né dans un hôpital militaire, à Saint-Mandé près de Paris, parce que la France, en 1956, avait quitté le Maroc. Pourtant, on me poursuivait en criant : « portos ! Portos ! ».

 

Toute ma vie, j'ai dû expliquer que j'étais français, malgré mon nom portugais et quand je disais mes origines, on me répliquait : « On ne t'a pas demandé de te justifier, tu as un nom portugais, tu es donc portugais ! ».

 

En 1974, j'étais en terminale et monsieur Valéry Giscard d'Estaing a été élu président de la République. Il a instauré l'âge de la majorité à 18 ans. Un soir, alors que je revenais de cours, dans ma pension, comme chaque soir depuis dix ans, on m'a dit que je ne pouvais pas dormir ici, parce que j'étais majeur.

 

Je me suis retrouvé, à 18 ans, dehors, d'un coup, d'un seul, sans argent, sans famille et sans amis. SDF subitement, ça fait drôle et pourtant, j'étais blanc, français et chrétien ! Ah oui, j'avais un nom portugais. J'ai dormi plusieurs jours dans une maison en ruine, en face de l'entrée du pensionnat, sans manger ni boire, assommé par ce qui m'arrivait et puis j'ai bougé et je suis là, aujourd'hui, à la retraite dans une jolie maison landaise, après bien des péripéties.

 

Quand je vivais à Lyon, dans les années 80, je ne pouvais pas trouver d'appartement où me loger : aucune « régie » (nom des agences de location à Lyon) n'acceptait de me louer un appartement. Parce que j'avais un nom portugais ? Non ; parce que je n’avais pas de caution avale, ni de références et souvent peu de feuilles de paie et que je n'étais pas fonctionnaire. Je devais faire de fausses fiches de paie pour me loger.

 

Il n'est pas besoin d'être noir pour être discriminé. On peut l'être parce que l'on est roux, grand, petit, gros, maigre, pauvre, issu de la ruralité, etc. Les noirs qui se plaignent ne savent pas qu'être un homme blanc ne nous protège pas de la discrimination. Les divorcés blancs savent qu'il est mieux d'être une femme pour obtenir la garde des enfants.

 

Mais, quand on est blanc, non musulman, et que l'on subit de la discrimination, on ne va pas dire : « Je suis discriminé parce que je suis blanc ! ». On ne dit rien, on subit et l'on se débrouille. On n'a pas une mentalité de victime.

 

Quand j'entends le discours de certains noirs de France, comme le footballeur champion du monde Lilian Thuram, pourtant antillais et non musulman, à-priori, qui affirme que le discours habituel des blancs assurant que la modernité est de leur fait, est de la propagande discriminante pour les Africains. Pourtant, ce n'est pas un discours : les blancs sont bel et bien à l'origine de la plupart des inventions qui ont construit la modernité. Citez-moi une invention majeure d'une personne noire.

 

Ensuite, on peut discuter de la pertinence de la modernité et préférer une société plus spirituelle, moins consumériste, polluante, etc. C'est une autre histoire. Mais, dire que de se vanter de la modernité est un discours discriminant, c'est avoir une drôle de biais ! Omar Sy qui se plaint du racisme... il dit qu'il ne doit rien à personne, alors ? Il est arrivé là où il est sans le public ? Vous voyez, quelle ingratitude ! Comment est-il arrivé à sa position dans un pays raciste ?

 

 

Racisme ou racialisme

 

 

Un noir qui se définit comme noir, alors qu'il est né français et qui honni la France, donne donc la priorité à la couleur de la peau : ce qui définirait le plus fondamentalement un individu serait sa couleur de peau. Si ce n'est pas du racisme, qu'est-ce que c'est ? Du racialisme ?

 

Quand un noir français tient les mêmes discours qu'un français blanc, d'autres noirs, français ou résidents le traitent de « bounty », de noir-dehors et blanc-dedans. Vous vous souvenez peut-être de cette militante « anti-raciste » qui avait insulté un policier parce qu'il était noir ?

 

Cette femme a été condamnée pour racisme et s'en est étonné : « moi, une militante anti-raciste condamnée comme raciste ? », mais oui, les juges ont un avis différent sur le racisme. Le racisme systémique blanc ne fait pas encore partie de la loi.

 

Je n'ai jamais fait de différence entre les gens en fonction de leur genre ni de la couleur de leur peau. Par contre, quand un délinquant fait du mal et qu'il est noir et non français, arabe, musulman, ou autre, je dis que ce délinquant n'est pas le bienvenu chez-nous et l'on me traite de raciste et de fasciste.

 

Les noirs, les Arabes et autres maghrébins qui crachent sur la France et les Français blancs non musulmans sont, de fait, dans une guerre religieuse qui ne dit pas son nom et ce sont les frères musulmans qui sont à la manœuvre à travers leurs différentes composantes, comme les fréristes.

 

Ne pas le voir c'est être aveugle. Quand on ne voit pas ses ennemis, on ne peut pas se défendre et la France ne se défend pas. Les islamistes le savent et traient nos démocraties de « démocraties aux ventres mous », ils nous méprisent pour ça.

 

Quand j'entends des noirs, de nationalité française, souvent même nés en France, qui crachent sur notre pays, ici ou à l'étranger, le traitant de pays raciste, (citez-moi un seul pays où il n'y a pas de racisme), j'ai envie de lui demander : « Êtes-vous Français ou noir ? ».

 

Je devrais peut-être lui demander : « êtes-vous Français ou musulman ? ». En général, le pays d'un musulman, c'est la Uma*, la communauté des musulmans et sa loi est la charia. Même les mieux intégrés, s'ils ne mangent pas de porc, ni ne boivent d'alcool, sont de la Uma et ne le disent pas, pour avoir la paix.

 

* L'oumma, ou uma, communauté ; nation, est la communauté des musulmans, indépendamment de leur nationalité, de leurs liens sanguins et des pouvoirs politiques qui les gouvernent. Le terme est synonyme de ummat islamiyya, « la nation islamique ». Le concept est très différent de celui d'église (ecclesia en latin) chez les chrétiens (même au sens étymologique de l'assemblée des fidèles) car l’Église est le Corps du Christ-Jésus, le Fils de Dieu, pour les Chrétiens. Ici l'Oumma est à la fois un contenu humain (les fidèles), politique (la nation islamique) et spirituel (communauté des musulmans). (Wikipédia)

 

Autre texte sur ce thème : Racisme-et-islamisme

 

 

Tag(s) : #Wokisme, racisme, noirs, discrimination, français, islam, musulman, chrétien, frèresmusulmans, fréristes
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